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Exquises parenthèses

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24 janvier 2016

Sport d'extérieur...

même si le club possède un grand manège, nous montons le plus possible dehors. La carrière fait 4000 m2, on a donc de la place. Mon groupe est composé de 6 cavalières (on a plus de garçon) et celui d'Alice de 8 (pas de garçon non plus). Les très jeunes cavaliers et les débutants restent au manège.

Lorsque le sol est gelé ou lorsqu'il fait très chaud, nous montons dans le manège, non pas pour notre confort mais pour celui des chevaux. Un sol gelé, c'est dangereux pour eux. A l'inverse, le sol sableux de la carrière trop sec génère de la poussière.

Ce samedi, c'était dressage (contre épaule en-dedans, déplacement des hanches...) avec Princesse Milord, jolie jument bai cerise.

Princesse Milord

princesse retouche 1

 

et Dimanche, c'était CSO

anne laure retouchée

Salsa montée par Anne-Laure

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Craneur monté par Amélie

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Bull monté par Jean-Christophe

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21 janvier 2016

Peyote, suite...

Voici la série de pendentifs en tissage peyote évoquée précédemment. Ces petites choses m'ont occupée quelques heures.

Pendentifs fleurs ou graphiques, toujours associés à des perles naturelles : améthyste, agate, lapis lazuli, perle d'eau douce, cristal et breloque.

Montés sur une chaînette boule argentée ou bronze. Le tissage seul mesure 3 cm x 4 cm environ.

Peyote 20153

Peyote 2015

Peyote 20151

Peyote 2015-001

Peyote 20152

 

 

 

 

18 janvier 2016

Il a neigé sur l'Anjou...

Le climat du Maine et Loire est doux, bénéficiant du climat océanique de la côte atlantique et de celui plus tempéré de la Touraine. Autant dire que nous n'avons pas souvent de la neige et lorsqu'il y en a nous sommes quelque peu chamboulés dans nos habitudes.

L'épisode neigeux de ce matin a été de courte durée mais les précipitations suffisamment importantes pour recouvrir d'un joli manteau blanc notre paysage quotidien. Ne travaillant pas aujourd'hui, j'en ai profité pour immortaliser l'instant en faisant ces quelques clichés.

Le square où j'habite avec un bout de mon petit jardin.

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De l'autre côté de la rue, un autre square.

 

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La cantine des petits piafs a été réouverte. Ils vont vite retrouver leurs habitudes.

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 Ceux-là sont immortels et supportent bien les aléas climatiques. 

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 Tout simplement, parce que c'est beau. 

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Mon petit portillon bleu coiffé de petits chapeaux éphémères.

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 Je me suis dit que j'avais eu raison de ne pas couper toutes les fleurs de l'hortensia qui escalade la façade nord de la maison.

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Et chez vous, la neige s'est-elle invitée ?

17 janvier 2016

Il est tellement beau...

que je ne l'ai pas acheté pour le manger mais pour le photographier. Avouez tout de même que ce chou romanesco est une pure merveille de la nature et qu'il méritait bien quelques clichés avant de passer à la casserole.

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Moi je dis que la beauté est partout, il suffit juste d'ouvrir les yeux.

15 janvier 2016

Tissage "peyote"...

Il y a quelques temps, j'ai réalisé toute une série de petits pendentifs avec la technique du point peyote. J'avais beaucoup entendu parlé de cette technique mais je ne la connaissais pas. Ce n'est pas un tissage sur métier, il n'y a pas de fil de trame. C'est un tissage manuel, à l'aiguille, les fils sont invisibles.

En fait, la différence entre ce point peyote et le point en brique, vu dans mon précédent billet, réside dans le fait que la perle est tissée dans le sens horizontal et non vertical. Pour le peyote, les trous se trouvent sur les côtés et pour le point en brique, les trous se trouvent en haut et en bas.

Selon ce que vous souhaitez réaliser, il convient de travailler avec un nombre pair ou un nombre impair de perles.

Pour le modèle ci-dessous, c'est un nombre impair qui a été utilisé et toujours les superbes perles de rocaille japonaises Miyuki dont la qualité et la régularité vous permettent un travail impeccable. Les autres perles sont en cristal Swarovsi dont l'éclat est incomparable, une perle de culture d'eau douce blanche et une petite breloque en métal doré. L'ensemble est monté sur une chaînette boule.

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13 janvier 2016

Samedi, c'était saut pour tout le monde...

moi le matin avec le grand Bull , c'est une ancienne photo prise en juin.

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et Alice, l'après-midi avec la jolie Kate.

Les deux obstacles, pas très hauts car ce n'est pas le but de l'excercice, étaient placés en L. Il fallait effectuer une suite de 3 sauts en formant un huit , la difficulté étant de se présenter bien au centre de la barre tout en réalisant de beaux virages mais plutôt serrés. Les jeunes (il n'y a que des filles) sont plutôt douées. C'est un bon exercice pour préparer une compétition de CSO.

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Clarisse et Salsa, parée au décollage.

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Inès et Lochness, tout en puissance.

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7 janvier 2016

De la minutie et une bonne dose de patience...

les Amérindiens ne devaient pas en être démunis lorsqu'on découvre les somptueux motifs de tissage qu'ils étaient capables de produire.

Heureusement, de la patience, j'en ai aussi et à défaut de posséder une excellente vue, j'ai de bonnes lunettes. Voici un tissage dit "en briques" inspiré des indiens d'Amérique réalisé avec des perles de rocailles japonaises et quelques toupies de cristal Swarovski.

Une fois la technique comprise, pas de difficulté particulière. Ce sont les franges de perles qui sont les plus chronophages. Ces boucles d'oreille sont longues de 13 cm et larges de 3 cm. Elles ne sont pas lourdes à porter. 

Ah, j'en oublierais presque le principal : il faut aussi savoir compter !

 

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1 janvier 2016

Je vous souhaite une bonne année...

 

fraternité-2016

 

en espérant que ce soit un meilleur millésime que celle qui vient de s'achever.

2015 a tout fait pour qu'on ne l'oublie pas et c'est avec impatience qu'on avait envie qu'elle se termine.

9 juillet 2015

Hip, hip, hip...

hourra !

Comme beaucoup de parents et en particulier quatre collègues de bureau, nous étions ce mardi dans l'attente des résultats du bac, série ES pour notre dernière fille, Alice.

 

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Une belle satisfaction et un ouf de soulagement de voir cette étape de franchie, pour les enfants des collègues aussi.

Il ne nous reste plus qu'à attendre les dernières validations : soit l'IUT de Valence où elle est sur liste d'attente où la FAC de sciences à Angers. Suite donc au 14 juillet.

7 juillet 2015

Parfois, je me dis...

que j'aimerais bien retrouver la souplesse de mes vingt ans, particulièrement lorsque le sort du montoir m'a attribué Bull, ce long et grand pur sang d'1m72 au garrot. "C’est un roc !… C’est un pic !… C’est un cap !… Que dis-je, c’est un cap ?… C’est une péninsule !". Effectivement, la fameuse tirade extraite de Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand pourrait tout à fait lui correspondre.

C'est vrai qu'il en impose ; mais voilà, il ne faut pas se fier aux apparences et sous des airs de gros dur, Bull est un gentil, un tendre avec un coeur immense qui aime être cajolé et qui adore les carottes et les pommes que je n'oublie jamais d'apporter.

Bon évidemment, le montoir est un peu délicat (et je n'ai plus mes 20 ans) mais la carrière est entourée d'une précieuse barrière (solide) qui fait des miracles pour peu que Bull veuille bien s'en approcher. Pour redescendre, c'est bien plus facile : déchausser ses étriers, passer la jambe droite par dessus la croupe et se laisser glisser à terre.

Bon, parfois, il y a des descentes plus expéditives qu'on ne contrôle pas forcément, que l'on a pas spécialement prévues. Celles-là vous laissent des bleus au corps et parfois au coeur mais on oublie et c'est reparti.

De toute façon, il est inconcevable de pratiquer ce sport sans un minimum d'équipement : des bottes, un casque de qualité et un gilet de protection pour le dos. 

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Les longues jambes de Bull se déplient dans un galop tranquille.

Quelques uns de mes petits compagnons de jeu du samedi matin. Pas de parité : les filles sont plus nombreuses que les garçons ! Ces cavaliers, débutants ou plus confirmés, ont entre 34 et 58 ans. 

 groupe

J'avais déjà pratiqué un petit peu l'équitation mais d'une façon peu académique chez un entraîneur de chevaux de course (j'avais 20 ans), j'ai véritablement ré-appris les bases à l'âge où en général les débutants ne s'y risquent pas trop, de peur de se rompre les os. En fait, l'envie m'est revenue lorsque tous les samedis, j'assistais au cours d'Alice, ma dernière fille, On dit que c'est comme le vélo, que ça ne s'oublie pas. Je ne serais pas si affirmative mais effectivement,  il y a des automatismes qui reviennent. Le reste, c'est du travail, du travail et encore du travail. 

Samedi 4 juillet, c'était notre dernier cours et nous avons eu droit au galop dans le pré, par groupes de deux puis de quatre cavaliers. Crinière au vent (et branches dans la figure si on est un peu distrait), les chevaux sont heureux et accélèrent, quelle sensation de liberté ! 

La saison est terminée, les chevaux vont pouvoir se reposer ; ils l'ont bien mérité. Je me suis réinscrite pour la rentrée de septembre. Je retrouverais avec plaisir la plupart de mes petits camarades et ce sera, à nouveau, l'occasion pour nous de partager de bons moments.

  

 

 

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